«Jamais je n'aurais pensé qu'une telle chose puisse m'arriver.»
Kiane Kam Kol, 38 ans, raconte: «Lors d’un accident il y a trois ans, j’ai perdu l’oeil gauche. Depuis, même mon meilleur ami d’alors me traite avec froideur et reste distant...
«Alors ils ont nettoyé mes yeux»
Kishni Danuwar, du Népal, vit avec sa belle-fille et sa petite-fille. Privée de la vue, Kishni Danuwar ne pouvait plus cultiver son champ. Et pour ce travail, la famille a besoin de tous les bras disponibles. Deux opérations de la cataracte ont permis de changer la donne!
Situn, un jeune du nord de l’Inde âgé de 12 ans, voyait de moins en moins bien et risquait de devenir aveugle. Ses parents savaient que leur fils pourrait retrouver la vue à la clinique de Biratnagar, au Népal, grâce aux dons reçus par CBM. Mais cette famille de pêcheurs a d’abord dû économiser longtemps pour rassembler l’argent nécessaire au voyage.
Préservés de la douleur et de la cécité
Quelque trois millions de personnes qui souffrent du trachome à un stade avancé devraient pouvoir être opérées d’urgence des paupières. C’est le cas de l’Ethiopienne Heyiriya Feri, 45 ans, qui risque de perdre la vue après avoir enduré de grandes douleurs.
«J’aimerais devenir ingénieur ou instituteur»
Rama vit avec une déficience visuelle qui ne l’empêche toutefois pas d’aller à l’école. Ses branches préférées sont l’anglais, les sciences naturelles, la technique et les maths. Quand il aura terminé sa scolarité, il aimerait devenir ingénieur ou instituteur. Grâce à l’école soutenue par CBM, il a de bonnes chances d’y parvenir.
Comme si ma vie était derrière moi
C’était «comme si ma vie était derrière moi», se souvient Saulos. «L’esprit agité, je tournais en rond hors de chez moi, ne sachant pas où j‘allais ni où j’étais.» Aujourd’hui, il participe à un groupe d’autoreprésentation dans lequel il conseille des personnes touchées par des maladies psychiques.
Vivre dans la dignité grâce à des aides optiques
Kenneth et Augustine, du Kenya, développent leurs talents et leurs connaissances – grâce au programme national Low Vision, ils ont bénéficié du traitement et des aides à la vue dont ils avaient besoin. Kenneth est aujourd’hui déjà à l’université.
Etre forte grâce à l’école inclusive
Julienne est aveugle et fréquente depuis six ans le centre scolaire soutenu par CBM à Yaoundé, la capitale du Cameroun. Le soutien individuel lui réussit clairement puisqu’elle est l'une des meilleures de sa classe. Julienne porte un regard positif sur l'avenir.
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